Deux amis, toujours les mêmes, ils se reconnaitront m’ont quasiment sommé de tenir mon journal de Stockholm. Je le fais un peu comme un pensum car je deviens de plus en plus paresseux. Pourtant je conçois bien que l’amitié peut avoir quelques exigences. Donc, je m’exécute.

Débarrassons-nous d’abord d’une contre vérités : non tous les suédois ne sont pas des géants blonds aux yeux bleus et les suédoises des poupées Barbies. Loin de là. Non la société suédoise n’est pas un idéal d’harmonie car dès mon arrivée à l’aéroport, qui semble minuscule quand ont vient de Roissy, un chauffeur de taxi, après m’avoir pris en charge, m’a débarqué sans raison. J’ai compris que la cliente qui me remplaçait aussitôt devait aller plus loin car le second chauffeur qui m’a pris s’est engueulé avec le premier. Ça met dans l’atmosphère.

Ensuite sur la route vers l’île de Kungholmen où j’ai loué un appartement, l’impression que Stockholm est un immense parc forestier car il y a des arbres partout. Bien sûr, l’île a quand même des rues et des immeubles mais il y a de la verdure partout. Cette île d’environ 10 km de circonférence n’est pas très loin du centre (Gamlastan) où je me propose d’aller demain et, chose fondamentale en ce qui me concerne, propose une piscine à 10 mn à pied de mon logement.

C’était, paraît-il, autrefois, un ensemble d’usines et d’ateliers divers qui s’est peu à peu boboïsé et qui se trouve maintenant ne présenter que des petits immeubles plutôt récents, la plupart en brique, sans charmes particuliers, avec tous les commerces que l’on peut souhaiter et de très nombreux cafés et restaurants, ce qui me convient bien. Mais, à part son pourtour qui est très boisé avec de petits parcs agréables et de nombreux petits ports de plaisance, l’ensemble n’a pas de lieux vraiment intéressants ou remarquables. Du moins je n’en ai pas vu, mais il est vrai que je n’ai fait aujourd’hui qu’une moitié de l’île. Je verrai dans les prochains jours.

Quelque chose de remarquable, tout de même, c’est que l’argent, sous sa forme traditionnelle, billets ou pièces, n’a pratiquement pas droit de cité, seule la carte bancaire est acceptée partout, même pour des sommes ridicules. J’ai ainsi voulu payer en liquide un expresso mais ça m’a été refusé et la caissière m’a demandé une carte bancaire. En France, bien que nous tendions vers ça, il y a quand même encore beaucoup de commerçants qui n’acceptent pas au-dessous d’une somme minimum ou qui préfèrent des espèces. C’est vrai que ça laisse moins de traces : l’esprit latin ?

Je pense, mes amis, que cette page ne vous fera pas rêver, mais je ne suis arrivé qu’à dix heures trente et c’est mon premier contact. L’expérience m’a appris qu’il fallait plusieurs jours pour pénétrer les charmes et les mystères d’une ville. Et puis, dois-je vraiment vous faire rêver ?

Deux amis, toujours les mêmes, ils se reconnaitront m’ont quasiment sommé de tenir mon journal de Stockholm. Je le fais un peu comme un pensum car je deviens de plus en plus paresseux. Pourtant je conçois bien que l’amitié peut avoir quelques exigences. Donc, je m’exécute.

Débarrassons-nous d’abord d’une contre vérités : non tous les suédois ne sont pas des géants blonds aux yeux bleus et les suédoises des poupées Barbies. Loin de là. Non la société suédoise n’est pas un idéal d’harmonie car dès mon arrivée à l’aéroport, qui semble minuscule quand ont vient de Roissy, un chauffeur de taxi, après m’avoir pris en charge, m’a débarqué sans raison. J’ai compris que la cliente qui me remplaçait aussitôt devait aller plus loin car le second chauffeur qui m’a pris s’est engueulé avec le premier. Ça met dans l’atmosphère.

Ensuite sur la route vers l’île de Kungholmen où j’ai loué un appartement, l’impression que Stockholm est un immense parc forestier car il y a des arbres partout. Bien sûr, l’île a quand même des rues et des immeubles mais il y a de la verdure partout. Cette île d’environ 10 km de circonférence n’est pas très loin du centre (Gamlastan) où je me propose d’aller demain et, chose fondamentale en ce qui me concerne, propose une piscine à 10 mn à pied de mon logement.

C’était, paraît-il, autrefois, un ensemble d’usines et d’ateliers divers qui s’est peu à peu boboïsé et qui se trouve maintenant ne présenter que des petits immeubles plutôt récents, la plupart en brique, sans charmes particuliers, avec tous les commerces que l’on peut souhaiter et de très nombreux cafés et restaurants, ce qui me convient bien. Mais, à part son pourtour qui est très boisé avec de petits parcs agréables et de nombreux petits ports de plaisance, l’ensemble n’a pas de lieux vraiment intéressants ou remarquables. Du moins je n’en ai pas vu, mais il est vrai que je n’ai fait aujourd’hui qu’une moitié de l’île. Je verrai dans les prochains jours.

Quelque chose de remarquable, tout de même, c’est que l’argent, sous sa forme traditionnelle, billets ou pièces, n’a pratiquement pas droit de cité, seule la carte bancaire est acceptée partout, même pour des sommes ridicules. J’ai ainsi voulu payer en liquide un expresso mais ça m’a été refusé et la caissière m’a demandé une carte bancaire. En France, bien que nous tendions vers ça, il y a quand même encore beaucoup de commerçants qui n’acceptent pas au-dessous d’une somme minimum ou qui préfèrent des espèces. C’est vrai que ça laisse moins de traces : l’esprit latin ?

Je pense, mes amis, que cette page ne vous fera pas rêver, mais je ne suis arrivé qu’à dix heures trente et c’est mon premier contact. L’expérience m’a appris qu’il fallait plusieurs jours pour pénétrer les charmes et les mystères d’une ville. Et puis, dois-je vraiment vous faire rêver ?

Premier contact

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